Nous avons un Roi
Après m’en être prise à mon mari par des propos blessants lorsqu’une situation n’a pas tourné à mon avantage, j’ai snobé l’autorité du Saint Esprit, qui me rappelait les versets bibliques révélant mes attitudes impies. x
Une adoration sans prix
Je me sers de l’écriture pour adorer et servir Dieu, plus encore maintenant que mon état de santé limite souvent ma mobilité. Quand une connaissance m’a dit ne trouver rien qui en vaille la peine dans mes écrits, cela m’a donc découragée. J’ai alors douté de la valeur de mes petites offrandes à Dieu.
Du fruit en abondance
Le printemps et l’été, j’admire les fruits qui poussent dans le jardin de nos voisins. Les vignes qu’ils y cultivent grimpent dans une clôture mitoyenne, puis produisent d’énormes grappes de raisins.
Notre culpabilité a disparu
Enfant, j’ai invité une amie à venir dans une boutique de cadeaux de mon quartier. Elle m’a alors choquée en fourrant des barrettes dans ma poche avant de me tirer par la manche jusqu’à nous faire sortir de là sans les payer.
Refléter l’amour de Dieu
J’ai eu le privilège de prendre soin de ma mère durant ses traitements en maison de convalescence pour personnes atteintes du cancer. Or, même durant ses pires journées, elle lisait la Bible et priait pour les autres avant de sortir du lit.
Abattre les murs
Une échéance de rédaction me pressait d’agir, mais la dispute que j’avais eue avec mon mari le jour même m’occupait l’esprit au point d’immobiliser mes yeux sur le curseur clignotant et mes doigts sur le clavier. Il avait tort lui aussi, Seigneur.
S’immerger dans la Parole
Lorsque notre Xavier était tout petit, nous sommes allés visiter en famille le Monterey Bay Aquarium. Désignant du doigt la grande sculpture suspendue au plafond de l’entrée, j’ai dit : « Regardez. Une baleine à bosse. »
Une tasse de réconfort
Une amie m’a envoyé des poteries qu’elle avait fabriquées. En ouvrant la boîte, j’ai vu que les précieux objets avaient été endommagés dans le transport. Il ne restait plus de l’une des tasses que quelques gros morceaux, un tas de tessons et des amas de poussière d’argile.
Rien en vain
Après avoir combattu le découragement et la dépression pendant près de trois ans à cause de ma mobilité réduite et de mes douleurs chroniques, je me suis confiée à une amie : « Mon corps tombe en morceaux. J’ai le sentiment de ne rien avoir à offrir de valeur à Dieu ou à qui que ce soit d’autre. »
Miséricorde attendue et reçue
Lorsque je me suis plainte de ce que les choix d’une amie qui l’enfonçaient dans le péché m’affectaient, la femme avec qui je priais chaque semaine a mis sa main sur la mienne en me disant : « Prions donc pour nous tous. »